Découvrez ci-dessous un petit aperçu de ce qui vous attend dans chaque atelier !
Voici une armada de nouveaux cas cliniques !
Qu’ils soient simples ou plus compliqués ils seront présentés de façon la plus didactique possible, et discutés avec vous. Ces cas cliniques auront pour sujet des alopécies non cicatricielles ou cicatricielles, des pathologies non alopéciantes du cuir chevelu, ou des problèmes de poils de manière plus générale.
Notre volonté est de vous montrer des petits (ou des grands) signes cliniques et dermatoscopiques, qui permettent dans la majorité des cas de poser un diagnostic et de réfuter les autres. Elle est aussi de vous indiquer la marche à suivre thérapeutique la plus commune, parfois de seconde ou troisième ligne dans les pathologies concernées.
Les demandes d’avis en ligne sont fréquentes!
Pour cet atelier, nous aurons sélectionné celles présentant un intérêt diagnostique, thérapeutique ou iconographique ou les 3!
Nos réponses seront discutées en toute interactivité avec la salle. Venez nombreuses et nombreux !
Les différents traitements oncologiques peuvent être à l’origine d’effets secondaires cutanéo muqueux, à l’origine pour le patient d’un retentissement quelquefois important sur sa qualité de vie.
A partir d’exemples, nous reprendrons les toxicités dermatologiques principales des traitements anti cancéreux utilisés couramment (chimiothérapies, immunothérapies et traitements ciblées) qui doivent être connues du dermatologue, qui a une place primordiale dans le parcours de soins de ces patients.
Par ailleurs, un focus sera réalisé sur les nouvelles thérapeutiques avec un impact dermatologique significatif, comme les anti FGFR, les inhibiteurs de Bruton, le tebentafusp ou les nouveaux anticorps monoclonaux utilisés en oncologie incluant l’enfortumab ou le talquetamab, d’utilisation plus récente.
Les 2 orateurs, membres du nouveau groupe DEFI (DErmatoses FacIales) de la SFD vous donneront – avec leurs expériences et leurs analyses de la littérature- à voir des cas que vous avez vu ou que vous verrez peut-être.
En résumé un atelier à voir et à entendre !
Venez confrontez vos expériences et débattre sur les différentes modalités de prise en charge des patients atteints d’hidradénite suppurée à différents stades de la maladie. Seront abordées notamment les questions suivantes à travers différentes situations cliniques : Quelle antibiothérapie ? Quand initier une biothérapie ? Comment organiser la chirurgie ? Quel geste proposer et comment l’encadrer ?
Nous concentrerons notre propos lors de cet atelier de dermatoscopie sur :
→ l’ongle : »keep calm and become onychoscopist » (Feriel Boukari)
→ le diagnostic coup d’œil : « dermatoscopy at first glance » (Pascale Huet))
→ »Dermoscopie simple : utopie ou réalité? (Jean-Yves Gourhant)
Un florilège de cas cliniques en pathologie unguéale : de l’inflammatoire au mécanique, du médical au chirurgical, les pathologies les plus courantes seront abordées mais aussi des diagnostics plus rares !
Les lymphomes cutanés sont des maladies rares et hétérogènes. Cet atelier vous présentera, à partir de cas pratiques et didactiques, les pièges diagnostiques, les nouvelles entités, les nouveaux concepts et les nouveaux traitements que le dermatologue doit connaître pour leur prise en charge.
Vous vous demandez comment aborder la dimension psychologique ou psychiatrique en lien avec le prurit de vos patients ? Vous souhaitez savoir quels éléments psychopathologiques se cachent derrière les lésions cutanées? Vous vous voulez savoir comment « concrètement » les prendre en charge? Venez profiter de l’expérience d’ une psychologue, d’un psychiatre et d’ une dermatologue expérimentés dans cet atelier !
Les verrues génitales, une histoire sans fin ? pas certain…Venez découvrir pourquoi avec François Aubin et Johan Chanal, dermatologues et Anne Le Gourrierec, gynécologue
Après un Quiz d’auto-évaluation, nous présenterons sa prise en charge en pratique quotidienne et répondrons en particulier aux questions suivantes : quels aspects dermoscopiques ? Quel type de prelevement faut-il faire devant une tache pigmentée suspecte? Quels arguments anatomo-pathologiques du diagnostic et comment affirmer une exérèse complète ? Quelles approches chirurgicales ? Y at’il des alternatives non chirurgicales ? si oui quelle fiabilité ?
Beaucoup de carcinomes à opérer, il faut assurer!
Cet atelier a pour objectif de lever les freins à la pratique de la chirurgie dermatologique au cabinet en abordant 3 thèmes essentiels :
- l’équipement nécessaire,
- la gestion de l’hémostase,
- l’exérèse fusiforme, la plus belle des plasties!
Un des grands thèmes abordés cette année en dermatologie esthétique est la qualité cutanée.
Elle peut certes être améliorée par les lasers et la radiofréquence, mais les dermatologues montrent un regain d’intérêt pour les inducteurs tissulaires et notamment l’hydroxyapatite de calcium. Qu’en est-il en pratique ? Que dit la littérature ? Et donc quelle place leur donner ?
Quant la bibliographie récente nous permet de mieux comprendre les interactions de l’énergie laser, nous passons facilement de l’esthétique au médical, notamment la stimulation cellulaire/ tissulaire par les lasers et leur action sur IGF-1, et la modulation de Tgf-ß nous incitent à parcourir les champs de cancérisation. Différentes publications permettent aussi de mieux comprendre la prise en charge pratique des cicatrices.
QUELLES NOUVEAUTÉS LASER DEVONT NOUS RETENIR ?
Les nouveautés existent mais surtout dans le domaine de la communication et pas du tout dans celui de la médecine basée sur des preuves.
On voit fleurir des invitations alléchantes concernant des techniques peu validées telles que l’hydrafacial, le Hollywood Peel, le peeling laser du déjeuner ou les ondes de choc contre la cellulite. Tout cela est mis en avant par certains industriels et surtout certaines chaines d’officine esthétique pour attirer le « client » qui ne demande qu’à y croire.
La vraie nouveauté laser se fait attendre mais on espère avoir à notre disposition en 2024 le premier laser capable de traiter l’acné vulgaire évolutive, c’est à dire inflammatoire. Deux lasers de ce type existent aux U.S.A. et les études cliniques sont attirantes.
TOUBEL Gérard. (RENNES)
A partir de cas cliniques personnels que nous voyons au quotidien nous expliquerons la stratégie menant à la décision d’enlever, laisser ou surveiller. Une petite partie sera consacrée à la grande simulatrice en dermoscopie qu’est la kératose séborrhéique
Dans le contexte actuel du monde de la santé, beaucoup d’éléments (de fonctionnements, de décisions et d’injonctions paradoxales) semblent nous éloigner des valeurs du prendre soin, nous mettant en tension, participant ainsi à l’épuisement professionnel.
Comment aller encore puiser en soi pour trouver de l’énergie et se remettre en mouvement ?
Cet atelier proposera de réfléchir à ces moments « d’arrêt » où l’épuisement nous guette ; il sera l’occasion de se relier à notre motivation et d’inviter à « un mouvement » de retour à soi soutenu par l’outils de la méditation.
Depuis quelques années, une méfiance s’est installée chez certaines personnes vis-à-vis de plusieurs catégories d’ingrédients
cosmétiques et des produits eux-mêmes. Cette méfiance est entretenue par une défiance envers les experts, remplacée par une confiance envers des bloggeuses célèbres. Elle est associée à une exigence de transparence sur la composition des produits, suite à divers scandales industriels et leurs répercussions médiatiques amplifiées. Dans ce contexte, on peut se poser la question de savoir si le fait-maison (DIY) est une solution intéressante.
Dans cet atelier, nous reprendrons les grands principes de la PDT conventionnelle, en lumière naturelle, artificielle et les indications les plus fréquentes Chaque dermatologue doit pouvoir offrir à ses patients toutes les thérapies curatives et préventives en oncodermatologie telles que la PDT. S’appuyant sur des cas cliniques, nous donnerons des astuces pour une pratique facile et efficace en cabinet, pour améliorer ses résultats, être à l’aise ; Comment renforcer l’action de la PDT et réduire ses effets secondaires, comment rentabiliser son temps, quelle lampe choisir, comment cotter les actes CCAM ? Quelles sont les dernières recommandations, les indications hors AMM et leurs preuves d’efficacités ? Quelle est la place de ce traitement parmi les autres ? Toutes les questions seront bienvenues. C’est un atelier que l’on espère animé et convivial.
En tant que dermatologue vous êtes amenés à faire de la chirurgie cutanée. En tant que spécialiste de la peau vous souhaitez en minimiser les marques. En tant que dermatologue c’est à vous que le patient adresse ses demandes voire ses plaintes vis à vis des cicatrices. Venez aborder avec nous la gestion des cicatrices tant sur le plan chirurgical, qu’interventionnel, que cosmétique, que psychologique
L’anus est souvent pour le dermatologue une terra incognita. Avec l’aide du Pr Laurent Siproudhis, proctologue et du Docteur Johan Chanal, dermatologue, explorez les différentes pathologies proctologiques et leurs traitements. Nous vous attendons !
L’acné, nous le savons tous dans notre pratique, au-delà des formes polymorphes dites papulo pustuleuses de l’adolescent, peut se présenter sous une forme suraiguë dans l’acné fulminans, avoir une composante nodulo kystique extensive dans l’acné conglobata, peut représenter une forme clinique particulière d’hidradénite suppurée ou s’associer à des signes inflammatoires systémiques dans les grands syndromes auto inflammatoires type PASH, PAPA… Ces lésions suraiguës ont souvent un risque d’évolution cicatricielle majeur. La distinction entre ces différentes formes cliniques d’acné mérite d’être rediscutée du fait de nombreuses formes frontières et de phénotypes de chevauchement. La prise en charge de ces acnés catastrophiques, qui peut faire appel à des traitements par biologiques et qui mérite une attention particulière les modalités de prescription de l’isotrétinoine se discutera à travers des cas cliniques et des partages d’expériences.
B. Loddé (1), A-M Roguedas-Contios (2)
1) Centre Régional de Pathologies Professionnelles et Environnementales, CHRU Morvan, Brest
2) Service de dermatologie et vénéréologie, CHRU Morvan, Brest
L’atelier de travail sera découpé en plusieurs parties :
- Actualités sur les dermatoses professionnelles
- Cadre nosographique
- Professions exposées
- Répertoire des maladies professionnelles
- Evaluation d’incidence et impact médico-professionnel
- Les cas rencontrés en pratique courante et les pièges à éviter
- Est-ce une maladie professionnelle ? Comment se (re) confronter à des environnements de travail pathogènes pour la peau ?
- Quiz (munissez-vous de vos téléphones portables)
En dermatologie, l’erreur de diagnostic et le retard de diagnostic, sont majoritaires dans le relevé des plaintes, notamment dans le mélanome. Comme pour les complications liés à la médecine esthétique, ou à des actes de petite chirurgie, l’élément le plus important de la responsabilité professionnelle engagée dans la transaction soignante concerne l’information à donner au patient. Comment caractériser un défaut d’information au sens du Code de la santé publique ? Quels risques devant faire l’objet d’une information auprès des patients, identifier ? Comment prévenir de nouveaux accidents dans la pratique quotidienne et parer au risque de judiciarisation? Cet atelier sera l’occasion de rappeler les règles essentielles pour la compréhension de la responsabilité médicale en dermatologie.
Face à la question du dérèglement climatique et de la pollution croissante de l’environnement cet atelier développera :
Une première partie à propos des travaux du Dr Jean-Alix Barrat sur le rôle de sentinelle des bivalves de la rade de Brest et en particulier des Saint Jacques à travers la lecture de leur coquille véritable témoin des épisodes de pollution de la modification des températures et de l’imprégnation locale en gadolinium.
Une deuxième partie animée par le Pr Annick Barbaud sur la problématique des perturbateurs endocriniens dans les produits de protection solaire et leur retentissement sur l’environnement
et enfin une dernière partie animée par le Dr François Desruelles centrée sur le retentissement humain de l’exposition aux perturbateurs endocriniens et les périodes de vulnérabilité.
Dans un monde 3.0, l’outil numérique est devenu incontournable.
Cet atelier est destiné à vous familiariser avec des ressources informatiques .On abordera différentes options d’accès à l’information à chaud mais aussi mobilisables en semi – différé sous 48h .
Les Brestois bougent, les marins aussi !
À partir de quelques cas cliniques, nous vous proposons un florilège de dermatologie tropicale d’importation.
L’hypnose est « un état de veille paradoxale », où l’on constate une immobilité du corps qui reste indifférent aux stimuli extérieurs mais qui contraste avec une activité cérébrale intense où le sujet est plus accessible à la suggestibilité.
Elle bénéficie désormais d’un crédit scientifique et s’implante progressivement dans les hôpitaux. On distingue l’hypnose formelle et l’hypnose conversationnelle.
L’objectif de cet atelier est de montrer comment l’hypnose peut permettre au dermatologue d’éviter une douleur procédurale, d’améliorer les scores d’activité d’une pathologie inflammatoire et d’améliorer le confort du patient.
L’hypnose permet un changement de la relation dermatologue-patient car elle mobilise les ressources du patient.